Le coureur américain d’ultra-marathon Harvey Lewis a récemment battu un nouveau record du monde lors du Big Dog’s Backyard Ultra, à Bell Buckle, dans le Tennessee. Après avoir parcouru un incroyable total de 450 miles (724 kilomètres) en 108 tours entre le 21 et le 25 octobre, Lewis a remporté le championnat du monde de l’ultra-marathon de jardin cette année. Ce n’est pas sa première victoire à cette compétition, puisqu’il avait déjà triomphé en 2021 en parcourant 354 miles (570 kilomètres) en 85 heures. Lewis est une véritable légende de l’ultra-marathon américain, ayant remporté le Badwater Ultramarathon de 135 miles (217 kilomètres) ainsi que le FANS 24-Hour Race à plusieurs reprises. Sa performance exceptionnelle au Big Dog’s Backyard Ultra témoigne de sa détermination et de sa capacité à repousser ses limites. Dans cet article, nous vous dévoilerons les détails de sa victoire et les secrets de sa préparation. Préparez-vous à être ébloui par l’exploit de ce coureur exceptionnel !
Harvey Lewis remporte le championnat mondial du “Big Dog’s Backyard Ultra”
Le célèbre ultrarunner américain, Harvey Lewis, a réalisé un exploit remarquable lors du “Big Dog’s Backyard Ultra” de la semaine dernière en établissant un nouveau record du monde. Avant cette victoire, Lewis, 47 ans, a pris une pause temporaire de son poste d’enseignant à l’école des arts créatifs et de la performance de Cincinnati, dans l’Ohio, pour discuter de l’interaction entre les trois branches du gouvernement avec sa classe de gouvernement à haut niveau. Il a ensuite parcouru 450 miles (724 kilomètres) en effectuant 108 tours entre le 21 et le 25 octobre pour remporter le championnat du monde de cette année. À son retour en classe le 27 octobre, après avoir parcouru 325 miles (523 kilomètres) en voiture pour rentrer chez lui, il a été accueilli par une salve d’applaudissements de ses étudiants.
Ihor Verys, un coureur ukrainien résidant au Canada, a pris la deuxième place avec 107 tours et près de 446 miles (718 kilomètres), ce qui lui a valu le titre proverbial d'”Assist” (l’assistant), la personne qui a poussé Lewis jusqu’au bout pour établir le nouveau record. Il s’agit de la deuxième victoire de Lewis au “Big’s”, comme on l’appelle plus familièrement. Il avait déjà triomphé en 2021 en parcourant 354 miles (570 kilomètres) en 85 heures. Lewis a également servi trois fois en tant qu’assistant. Il est une légende de la scène américaine de l’ultrarunning, ayant remporté l’ultramarathon de 135 miles (217 kilomètres) de Badwater de la vallée de la mort jusqu’à la base du mont Whitney en Californie en 2014 et 2021, ainsi que la course de 24 heures FANS dans le Minnesota en 2012 et 2022, tout en ayant également représenté les États-Unis lors du championnat du monde de l’IAU de 24 heures à quatre reprises.
Une course d’ultra résiliente
Pendant le “Big’s”, Harvey Lewis a admis avoir eu des hallucinations légères à certains moments et avoir dû se battre pour rester éveillé à d’autres moments. Mais il y a eu des moments où il se sentait très bien et pouvait courir indéfiniment. “J’ai vraiment eu l’impression que nous aurions pu passer toute une autre nuit”, a déclaré Lewis quelques jours après la fin de la course. “Parce que la nuit précédente, atteindre les 55 minutes par ‘yard’ n’était pas facile, mais c’était faisable.”
Le format de course particulier du “backyard ultra” consiste à parcourir un tour de 4,167 miles (6,7 kilomètres), également appelé “yard”, une fois par heure jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un seul coureur. Les tours durent généralement entre 42 et 55 minutes, permettant aux coureurs de se reposer, de récupérer, de se ravitailler et de s’hydrater pendant le reste du temps à l’aire de départ et d’arrivée. Le dernier coureur doit effectuer un tour supplémentaire pour être déclaré vainqueur.
Un terrain de jeu équitable
Le format du “backyard ultra” permet aux hommes et aux femmes de concourir côte à côte, ce qui en fait l’un de ses aspects les plus intéressants. Cette année, six coureurs ont atteint les 100 tours et 416,66 miles (670,5 kilomètres) : Lewis (108), Verys (107), Bartosz Fudali de Pologne (103), Terumichi Morishita du Japon (101), Phil Gore d’Australie (100) et Merijn Geerts de Belgique (100). Claire Bannwarth, coureuse française, a été la meilleure concurrente féminine cette année, terminant à la 31e place avec 60 tours et 250 miles (402 kilomètres).
Une stratégie de nutrition efficace
Harvey Lewis, adepte d’un régime à base de plantes, a consommé régulièrement du Tailwind pendant la course, complété par de l’eau de coco et des sodas. Parmi ses options alimentaires préférées pendant la course, on compte les mélanges de mangue et de graines de chia. “Les aliments à base de plantes ont vraiment eu un impact”, a déclaré Lewis. “Je n’ai jamais été malade. J’ai toujours eu une énergie constante. Et c’était facile pour mon estomac et mon corps sur la longue distance. Je pense que j’ai probablement absorbé plus de calories que n’importe qui d’autre sur le terrain pendant toute cette aventure.” Sa stratégie nutritionnelle comprenait des wraps à l’avocat et au houmous, de la soupe de pois, des chips de pomme de terre et des nouilles Pad Thai.
L’importance de l’entraide
Pendant la course, on a demandé à Harvey Lewis pourquoi il aidait les autres, notamment dans l’objectif d’atteindre les 300 miles (482 kilomètres). “Je pense que nous avons franchi la ligne ensemble à environ sept pour atteindre les 300 [miles]”, a déclaré Lewis. “Certains pourraient dire : ‘Eh bien, ça semble stupide. Pourquoi as-tu aidé toutes ces personnes ?’ Cela m’a aussi aidé. Cette collaboration m’a facilité les choses pendant la nuit également.”
Lewis a utilisé la course comme une opportunité de soutenir les autres, en collaborant avec le Brighton Center, une organisation à but non lucratif qui vient en aide aux personnes dans le besoin dans le nord du Kentucky et le grand Cincinnati. L’objectif est de collecter 100 000 dollars. “Ils aident environ 20 000 personnes chaque année, de l’itinérance à la réadaptation de l’alcool et des drogues en passant par l’aide à l’éducation financière, le coaching professionnel et même l’aide à l’achat de logements”, a déclaré Lewis. “Ils essaient de créer de la stabilité. C’est une période critique en ce moment. C’est une organisation remarquable dans notre région qui aide les gens. Nous avons trop de sans-abri dans notre pays. Trop de personnes sont confrontées à des décisions très difficiles.”
La mentalité du “honey badger”
Harvey Lewis adopte différentes personnalités animales lors de grandes courses. Pendant cette course, il a adopté la mentalité du “honey badger” (le blaireau à miel). La résilience et l’attitude de ne jamais abandonner du honey badger correspondent parfaitement à l’approche de Harvey envers l’ultrarunning. “S’il tombe ou se fait battre, il continue simplement d’avancer”, a déclaré Lewis. Cette mentalité l’a poussé jour et nuit. Au 104e tour, seuls Lewis et Verys étaient encore en mouvement. “C’est un coureur très fort”, a déclaré Lewis. “Je ne savais pas où il en était mentalement, s’il était prêt à finir ou s’il voulait continuer.”
Harvey Lewis a réussi un exploit extraordinaire lors du “Big Dog’s Backyard Ultra”. Sa détermination, sa préparation physique et sa stratégie nutritionnelle lui ont permis de remporter cette compétition et d’établir un nouveau record du monde. Sa victoire est la preuve de sa place privilégiée dans le monde de l’ultrarunning américain.
Le célèbre ultrarunner américain Harvey Lewis a décroché un nouveau record du monde lors du Big Dog’s Backyard Ultra la semaine dernière. Après avoir enseigné à l’école des arts créatifs et du spectacle de Cincinnati, Lewis, âgé de 47 ans, a parcouru un incroyable total de 450 miles en 108 tours entre le 21 et le 25 octobre pour remporter le championnat du monde de l’ultra en arrière-cour de cette année. À son retour en classe le 27 octobre, après un trajet de 325 miles en voiture, il a été accueilli par une ovation chaleureuse de ses élèves. Le coureur ukrainien Ihor Verys, résidant au Canada, a terminé à la deuxième place avec 107 tours et près de 446 miles, méritant le titre proverbial d'”Assist”, la deuxième personne qui reste en lice et qui a aidé Lewis à atteindre le nouveau record. La victoire marque la deuxième victoire de Lewis à “Big’s”, comme la course est plus familièrement connue. Il avait déjà triomphé en 2021 en parcourant 354 miles en 85 heures. Lewis est une légende de la scène de l’ultrarunning américain, ayant remporté l’ultramarathon de 135 miles Badwater de la Vallée de la Mort à la base du mont Whitney en Californie en 2014 et 2021, ainsi que la course de 24 heures FANS au Minnesota en 2012 et 2022, tout en représentant les États-Unis lors du Championnat du Monde IAU de 24 heures à quatre reprises. Lors du Big’s, Lewis a connu des hallucinations légères et a dû se battre pour rester éveillé, mais il y a aussi eu des moments où il se sentait très bien et pouvait courir indéfiniment. L’ultrarunner américain a souligné l’importance de la constance et de l’évitement des risques inutiles à chaque tour. Sa stratégie nutritionnelle comprenait des aliments à base de plantes tels que des wraps à l’avocat et au houmous, de la soupe de pois, des chips de pommes de terre et des nouilles Pad Thai. Il a également souligné l’importance d’aider les autres pendant la course, en collaborant avec le Brighton Center, une organisation à but non lucratif qui aide les personnes dans le besoin dans le Kentucky du Nord et le Grand Cincinnati. En adoptant l’attitude d’un ratel, un animal réputé pour sa résilience, Lewis a pu surmonter les défis et atteindre un nouveau sommet dans sa carrière d’ultrarunner.