Un record pulvérisé, une aventure hors du commun. Christophe Le Saux, ultra-runner accompli et aventurier dans l’âme, vient de réaliser un exploit incroyable : il a battu le record de vitesse aller-retour en autonomie totale du plus haut volcan du monde, l’Ojos del Salado, au Chili. Un défi titanesque qui l’a mené à gravir 51 km et 3050 m+ en seulement 15h39 pour atteindre les 6893 mètres d’altitude du sommet. Dans cet article, il nous livre son récit épique, entre fatigue extrême, conditions météorologiques extrêmes et persévérance inébranlable. Découvrez le récit de cette incroyable aventure, qui vous donnera à coup sûr des frissons.
Christophe Le Saux : un record hors du commun sur le plus haut volcan du monde
Christophe Le Saux, un ultra-runner accompli et aventurier dans l’âme, vient de réaliser un exploit incroyable en pulvérisant le record de vitesse aller-retour en autonomie totale sur le plus haut volcan du monde, l’Ojos del Salado, au Chili. Dans un récit détaillé de son exploit, il nous raconte les défis et les difficultés auxquels il a fait face.
Un record historique sur l’Ojos del Salado
Situé au Chili, le Nevado Ojos del Salado est le plus haut volcan du monde, culminant à 6893 mètres d’altitude. C’est également le deuxième plus haut sommet d’Amérique après l’Aconcagua. Jusqu’à présent, l’ascension aller-retour en une seule traite n’avait jamais été réalisée, à l’exception d’un chrono référence établi en 2019 par deux alpinistes français, Antoine Retours et Étienne Loisel, en 21 heures et 18 minutes.
Christophe Le Saux relève le défi
Déterminé à relever le défi, Christophe Le Saux s’est préparé avec minutie. Après plusieurs semaines passées à s’acclimater en altitude sur différents sommets, il décide de s’attaquer au record d’Étienne Loisel. Le départ est donné le 20 octobre, avec pour objectif de réaliser l’aller-retour en moins de 21 heures et 18 minutes.
Une expédition extrême
L’expédition est loin d’être facile pour Christophe Le Saux et son équipe. Le premier jour, ils doivent parcourir 12 kilomètres avec des sacs à dos pleins à craquer, chargés de nourriture et d’eau, pour rejoindre le camp 1 situé à 5200 mètres d’altitude. Grâce à leur acclimatation préalable sur d’autres sommets, ils parviennent à surmonter cette épreuve.
Des conditions météorologiques extrêmes
Les conditions météorologiques ne sont pas clémentes pour Christophe Le Saux. Il affronte des températures glaciales de -30°C et des rafales de vent atteignant les 100 km/h. Malgré cela, il réussit à avancer, équipé de crampons et d’un piolet pour assurer sa sécurité.
Le sommet en ligne de mire
Après de longues heures d’efforts, Christophe Le Saux atteint enfin le cratère du volcan, à une altitude de 6800 mètres. Il ne lui reste plus que 400 mètres à gravir, mais la fatigue commence à se faire sentir. Il traverse un pierrier dangereux et escalade les derniers mètres en s’aidant de cordes fixes.
Un record historique
Après 15 heures et 39 minutes d’efforts intenses, Christophe Le Saux atteint enfin le sommet de l’Ojos del Salado. Il réalise ainsi un exploit incroyable en pulvérisant le record précédent de près de 6 heures. Il est convaincu que sa meilleure acclimatation en altitude lui a donné un avantage certain.
Une fatigue intense
Malgré son exploit, Christophe Le Saux ressent une grande fatigue. Rester en haute montagne pendant plusieurs semaines n’est pas sans conséquences sur l’organisme. Il a dû faire face au froid, à la maladie et à une perte de masse musculaire importante. Mais il sait qu’il va rapidement retrouver sa force et sa famille, qui lui ont beaucoup manqué pendant son absence.
Des défis à venir
Christophe Le Saux ne compte pas s’arrêter là. Il a de nombreux projets en tête, notamment l’ascension des 7 volcans les plus hauts de chaque continent. Il souhaite réaliser ces expéditions en autonomie, sans avoir à faire face à la foule des expéditions commerciales. Sa motivation vient notamment de sa famille, qui l’attend avec impatience à la maison.
Un aventurier inspirant
Christophe Le Saux est un exemple d’ultra-runner insatiable, toujours à la recherche de nouveaux défis pour se dépasser. Il aime partager ses expéditions à travers des films, afin de faire rêver les gens. Toujours prêt à repousser ses limites, il reste cependant conscient des dangers et sait faire preuve de prudence pour assurer sa sécurité.
Un défi solitaire, des moments de partage
Bien qu’il apprécie la compagnie de ses proches lors de ses expéditions, Christophe Le Saux préfère réaliser ses défis en solitaire. Il estime que cela lui permet de se concentrer uniquement sur lui-même et de ne pas se soucier des autres. Il connaît ses capacités et ses limites, et n’hésite pas à faire demi-tour si nécessaire. Il sait également rester concentré dans les moments difficiles, en pensant à sa famille qui lui donne l’énergie nécessaire pour aller au bout de ses rêves.
Christophe Le Saux, ultra-runner accompli et aventurier dans l’âme, a récemment pulvérisé le record de vitesse aller-retour en autonomie totale du plus haut volcan du monde, l’Ojos del Salado, au Chili. Avec une distance de 51 km et un dénivelé de 3050 m+ en seulement 15h39, il a atteint les 6893 mètres du sommet, en partant du camp de base situé à 4550 mètres. Cette expédition a été un véritable défi pour Le Saux, en raison de l’autonomie totale imposée. Malgré les conditions difficiles, il a réussi à surpasser le chrono référence établi en 2019 par Antoine Retours et Étienne Loisel. Ce record témoigne de la détermination et de la persévérance de Le Saux, qui ne cesse de repousser ses limites. Son récit captivant nous plonge dans l’atmosphère extrême de l’Ojos del Salado, où chaque pas compte et où la moindre erreur peut être fatale. En plus de son exploit sur ce volcan, Le Saux a également partagé ses futurs projets, notamment son ambition de conquérir les 7 volcans les plus hauts de chaque continent en totale autonomie. Ce défi solitaire lui permet de se concentrer sur lui-même et de repousser ses limites, tout en gardant à l’esprit sa famille qui l’attend à la maison. Christophe Le Saux incarne l’esprit de l’aventure et de la persévérance, et nous ne pouvons qu’admirer sa détermination à repousser les limites de l’exploit sportif.