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Calendrier 2023 : Découvrez l’épreuve infernale de l’Enfer d’Artois !

Enfer d’Artois : une épreuve atypique et exigeante sur les sentiers de la colline de Lorette

Ceux qui ont connu les rudes sentiers du disparu Trail des Poilus peuvent se réjouir. Depuis l’an dernier, une nouvelle épreuve très originale arpente les mêmes chemins de la colline de Lorette, haut-lieu de la Première Guerre mondiale. Son nom : l’Enfer d’Artois. Et, comme vous pouvez vous l’imaginer, il vous promet d’en baver. Avant la deuxième édition, programmée le 9 décembre à Alban-Saint-Nazaire (62), coup de projecteur sur cette épreuve atypique avec l’un des organisateurs, Jacky Clément.

C’est sur les bases de l’ancien Trail des Poilus que l’Enfer d’Artois a vu le jour l’an dernier. Mais Jacky Clément et Christophe Szrama, qui ont tenu la baraque (sans frites) des Poilus de 2006 à 2018, ont eu l’idée de concocter un format différent des trails classiques. Le concept est à la fois simple et original. Il propose à 500 coureurs (nombre limité, dépêchez-vous!) de s’élancer sur une boucle de 9,3km avec 400m de D+ à 14 heures pétantes, et boucler le plus de tours possible jusqu’à 20 heures. 3 heures de course de jour, les plus faciles, 3 heures de nuit, les plus terribles, quand le froid et la fatigue s’associent… Bien entendu, vous pouvez stopper votre course avant 20 heures. Vous serez alors classé en fonction du nombre de boucles parcourues. Lors de la première édition, le vainqueur, Jean-Baptiste Lalart, ultra-traileur expérimenté, avait réussi à faire 6 tours en 5h 15mn 17s, échouant de 10 minutes à boucler le 7ème. Il sera de retour cette année, avec pour objectif d’y parvenir. Et de gagner le lot spécial mis en jeu : un téléphone portable d’une valeur de 1000 euros. Chez les femmes (1/3 des partants), c’est Sophie Laurent qui avait remporté la palme, avec 5 tours en 5h 27mn 10s. Quant au nombre moyen de boucles parcourues par les concurrents, c’est entre 3 et 4 boucles. En fin de parcours, vous risquez fort de ressembler à ça.

Simple au premier abord, l’épreuve est en réalité hyper exigeante. En effet, ce rendez-vous hivernal se déroule sur un terrain particulièrement compliqué : Notre-Dame-de-Lorette, l’une des plus célèbres collines d’Artois, dans le Pas-de-Calais. Lieu hautement mémoriel, c’est sur ce site que l’une des batailles les plus féroces de la Première Guerre mondiale s’est déroulée. La colline de Lorette, qui culmine à 165 mètres, porte encore les stigmates des terribles combats qu’elle a abrités, creusée de tranchées, éventrée par les bombardements. Perpétuer le devoir de mémoire est une chose à laquelle Jacky Clément et Christophe Szrama sont très attaché. Pas pour juger, plus de cent ans après la guerre, mais pour rassembler. Célébrer tous les soldats de la Grande Guerre, leur vaillance incroyable face à l’adversité. Et surtout souligner leur inaltérable aspiration à la paix.

Tous ceux qui s’imaginent que les collines d’Artois ne présentent pas de difficultés particulières risquent d’être surpris. Car ici, le parcours est exigeant et technique. Parfois même digne de la haute montagne. Les montées ne sont jamais très longues, mais restent très rapprochées et toujours bien pentues. Quelques portions sont même comprises entre 10 et 15%. Le circuit, avec beaucoup de single tracks, est ainsi jalonné de 5 éperons. 5 petits sommets qui permettront aux coureurs de passer sur des crêtes et d’apprécier le panorama dégagé sur l’ensemble du site (le jour). Mais ces 5 petits sommets vous feront bien brûler les cuisses ! Si certains tronçons du parcours sont connus des traileurs locaux, pour d’autres, impossible de les connaître. Ils passent en effet dans des parcelles privatives complètement inédites juste reliées entre elles par des chemins de liaison, et exceptionnellement ouvertes le jour de la compétition. De quoi avoir de belles surprises… Et pour ceux qui ont participé à la première édition, une autre surprise : le parcours sera cette fois-ci en sens inverse. De quoi perdre tous ses repères !

C’est le principal ennemi des coureurs. Pour peu que la météo s’en mêle, l’Enfer d’Artois peut rapidement devenir terrible. L’an dernier, pour la première édition, c’était un froid glacial qui avait frigorifié les concurrents. Mais si la pluie et le vent s’invitent, prévient Jacky Clément, ça peut vite devenir terrible. Et là, ce sera une toute autre histoire… Heureusement, à chaque tour, la base-vie permet le ravitaillement et le repos. Et surtout accueille les coureurs dans une ambiance festive si réputée dans le Nord. D’ailleurs, il ne faut absolument pas rater le repas de fin de course (compris dans l’inscription et servi à sa place boisson comprise dans l’Estaminet de Lorette entre 17h et 22h) pour terminer l’expérience en beauté. L’Enfer d’Artois fait partie de l’Artois Trail Challenge, un challenge destiné à faire découvrir les courses natures de l’Artois. 14 courses étaient ainsi au programme de l’édition 2023 entre mars et décembre, avec l’Enfer d’Artois en guise de conclusion. Pour plus d’infos sur le challenge, c’est ICI Pour s’inscrire, c’est ICI

L’Enfer d’Artois : une épreuve atypique sur les traces du Trail des Poilus

Depuis l’an dernier, les amateurs du défunt Trail des Poilus peuvent se réjouir. Une nouvelle épreuve très originale arpente désormais les sentiers de la colline de Lorette, haut-lieu de la Première Guerre mondiale. Son nom : l’Enfer d’Artois. Avant la deuxième édition prévue le 9 décembre à Alban-Saint-Nazaire, plongée dans cette course atypique avec l’un des organisateurs, Jacky Clément.

Un format différent des trails classiques

C’est sur les bases de l’ancien Trail des Poilus que l’Enfer d’Artois a vu le jour l’an dernier. Les organisateurs, Jacky Clément et Christophe Szrama, ont eu l’idée de concocter un format différent des trails habituels. Le concept est simple et original : les 500 coureurs inscrits s’élancent sur une boucle de 9,3 km avec 400 m de dénivelé positif à 14 heures précises, et doivent boucler le plus de tours possible jusqu’à 20 heures. Trois heures de course de jour, les plus faciles, et trois heures de nuit, les plus redoutables, où le froid et la fatigue se mêlent. Les participants peuvent décider d’arrêter avant 20 heures et sont alors classés en fonction du nombre de boucles parcourues.

Des vainqueurs déterminés à relever le défi

Lors de la première édition, le vainqueur, Jean-Baptiste Lalart, ultra-traileur expérimenté, a réussi à effectuer 6 tours en 5h 15mn 17s, échouant de peu à boucler le 7ème. Il sera de retour cette année avec pour objectif de franchir cette barre symbolique. Chez les femmes, c’est Sophie Laurent qui avait remporté la palme en réalisant 5 tours en 5h 27mn 10s. En moyenne, les concurrents parcourent entre 3 et 4 boucles.

Un parcours exigeant et chargé d’histoire

La particularité de l’Enfer d’Artois réside dans son parcours exigeant et technique. Les collines d’Artois ne sont pas à sous-estimer, avec des montées courtes mais raides, parfois jusqu’à 15% de pente. Le circuit, composé principalement de single tracks, est jalonné de 5 éperons offrant une vue panoramique sur le site. Certains tronçons du parcours sont inédits et traversent des propriétés privées exceptionnellement ouvertes le jour de la compétition, réservant ainsi de belles surprises aux participants. Cette année, le parcours sera inversé par rapport à la première édition, de quoi déstabiliser les habitués.

Survivre au froid, à la boue et à la nuit

Le principal défi pour les coureurs est le froid. Si la météo s’en mêle, l’Enfer d’Artois peut rapidement devenir terrible. L’an dernier, le froid glacial avait déjà fait souffrir les concurrents, mais si la pluie et le vent s’invitent, la course prendra une toute autre dimension. Heureusement, à chaque tour, une base-vie permet aux coureurs de se ravitailler et de se reposer dans une ambiance festive typique du Nord. Le repas de fin de course, compris dans l’inscription, est un événement à ne pas manquer pour clôturer cette expérience en beauté.

Perpétuer le devoir de mémoire

L’Enfer d’Artois se déroule sur un site hautement mémoriel : Notre-Dame-de-Lorette, l’une des collines les plus célèbres de l’Artois. Lieu de batailles acharnées pendant la Première Guerre mondiale, cette colline porte encore les traces de ces combats terribles. Les organisateurs, Jacky Clément et Christophe Szrama, attachent une grande importance à perpétuer le devoir de mémoire et à célébrer tous les soldats de la Grande Guerre, soulignant leur courage face à l’adversité et leur aspiration à la paix.

Conclusion

L’Enfer d’Artois est une épreuve à part dans le paysage des trails. Son parcours exigeant, sa dimension historique et son ambiance festive en font un rendez-vous incontournable pour les traileurs en quête de défis. Si vous souhaitez participer à cette deuxième édition, dépêchez-vous de vous inscrire avant que les places ne soient toutes prises.

L’Enfer d’Artois, cette épreuve atypique qui arpente les sentiers de la colline de Lorette, offre aux coureurs un défi de taille. En effet, cette course exigeante de 6 heures propose aux participants de parcourir le plus de tours possible sur une boucle de 9,3 km avec 400m de dénivelé positif. Les 3 premières heures se déroulent de jour, tandis que les 3 suivantes se font de nuit, ajoutant ainsi une difficulté supplémentaire avec le froid et la fatigue. Bien que cette épreuve soit ouverte à tous les niveaux, seuls les plus aguerris parviendront à en venir à bout. Le vainqueur de la première édition, Jean-Baptiste Lalart, avait réussi à effectuer 6 tours en 5h 15mn 17s, manquant de peu le 7ème. Cette année, il revient avec l’objectif de le réussir et de remporter le lot spécial mis en jeu. Chez les femmes, c’est Sophie Laurent qui avait remporté la palme avec 5 tours en 5h 27mn 10s. Le parcours, situé sur la colline de Lorette, haut-lieu de la Première Guerre mondiale, perpétue le devoir de mémoire et rend hommage aux soldats de la Grande Guerre. Les participants auront ainsi l’occasion de courir sur un terrain chargé d’histoire, parsemé de tranchées et marqué par les combats. Le parcours, exigeant et technique, offre de belles surprises avec ses 5 petits sommets et ses portions inédites. Les coureurs devront également affronter les conditions climatiques hivernales, avec le froid, la boue et la nuit. Néanmoins, la base-vie offre un répit bienvenu à chaque tour, permettant aux participants de se ravitailler et de se reposer. Enfin, l’Enfer d’Artois fait partie de l’Artois Trail Challenge, un challenge qui propose aux coureurs de découvrir les courses natures de l’Artois. Cette épreuve clôture ainsi une série de 14 courses organisées entre mars et décembre. Alors, que vous soyez un coureur aguerri ou un amateur de défis, l’Enfer d’Artois vous garantit une expérience unique et mémorable.

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